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Paroles d'Arbres

 

Présent dans les contes, les légendes, les mythes, les traditions de tous les peuples, il est l’arbre de vie qui rythme le temps. De la naissance à la mort, il accompagne les humains.

 

 

Axe du monde, il plonge se racines au plus profond de la terre, il porte le ciel sur ses branches.

Il est la baguette des fées, le balai des sorcières, la porte vers l’Autre Monde où le temps s’écoule autrement.

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Un arbre fée, sept paires de sabots de bois marchent dans les sept directions du monde; dans une vallée perdue,un arbre harpe; un pommier qui porte des étoiles; les arbres sacrés des druides; un géant immortel, sur sa tête pousse un arbre

 

Ces contes nous invitent à une balade dans le merveilleux des arbres. Ils nous invitent aussi à tendre l’oreille car comme dit le poète, la feuille amie du silence laisse le vent parler pour elle.

Ce spectacle convient à un public familial à partir de 7 ans.

Durée : 60 minutes

 

Ce spectacle est modulable. Il peut être adapté pour un public adulte.

Il peut aussi convenir en extérieur sur un lieu fixe ou en balade contée.

En balade, le conteur adapte les contes en fonction des lieux. Aux contes et légendes, il mêle mythes et traditions populaires.

Le premier sabotier du monde

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« Arbres ». Les compagnons de l’homme depuis toujours

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Belle rencontre, samedi, avec le conteur Rémy Cochen, invité à la médiathèque dans le cadre du festival Grande Marée. Dans son spectacle « Arbres », il a rappelé avec brio que l’arbre est un compagnon de toujours de l’homme, qu’il est le témoin et la mémoire des temps passés. C’est lui aussi qui offre des balais aux sorcières et des baguettes aux fées. Axe du monde, il relie la terre au ciel. Il aide l’homme à se chauffer et lui donne les matériaux pour se construire un abri. Dans les contes de Rémy Cochen, on retrouve Cendrillon revisitée et tout un patrimoine universel qu’il retransmet au spectateur en l’habillant de culture celte. Pendant une heure, le conteur a su emporter son public d’un monde à l’autre et lui rappeler que les naïvetés de l’enfance sont parfois un moyen de retrouver le vrai sens de la vie.

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Le Télégramme 28 novembre 2018

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